Deadly
Titre : Renaissance
Auteur : Deadly
Disclaimers : Les personnages appartiennent bien évidemment à JK Rowling :)
Personnages : Draco, Astoria, Scorpius, Harry
Rating : T.
Résumé : Engagé depuis dix ans dans un mariage qui ne leur convient pas, Draco et Astoria se séparent. Commence alors une série de rénovations dans la vie de Draco. Les retrouvailles avec cette personne qui lui a tant manqué ne se passent pas comme prévu mais lui permettent de prendre un nouveau départ.
Note d'auteur : Ceci est ma toute première fanfiction. J’espère qu’elle vous plaira ! Elle sera divisée en deux parties.
Chapitre 1 : Le début de la fin.
Je jette un caillou dans l’eau. Pas un seul ricochet, il coule à pic. Je soupire et regarde mes pieds se balancer au dessus du vide.
Dix ans de mariage, c’est bien trop long. Je me demande comment j’ai fait pour tenir tout ce temps. Pour Scorpius j’imagine. Astoria a toujours été quelqu’un de distant et froid. Même avec son propre fils elle a un peu de mal.
Comment témoigner un tant soit peu d’affection avec une personne aussi peu démonstrative que soi-même ?
J’ai tendance à reculer quand la personne en face fait de même. Nous n’avons donc pas avancé d’un pouce depuis dix ans. J’aurais même tendance à dire que nous nous sommes encore plus éloigné qu’au début de notre relation - si cela pu être possible.
Elle n’a jamais tenté de s’approcher, du coup, moi encore moins. C’est d’ailleurs un miracle que nous ayons eu un fils. C’est certainement le seul rapprochement que nous nous sommes octroyé. Il fallait bien un héritier…
Seulement… ces instants restent tellement superficiels que ça me donne la nausée.
Au début, nous ne nous touchions peut-être une fois par semaine, elle participait à peine et j’en faisais le moins possible. Ensuite, c’est passé à environ deux fois par mois - et encore - j’avais l’impression de faire l’amour à un bloc de marbre et la touchait encore moins. C’est devenu de temps en temps puis, nous avons arrêté de nous forcer. A quoi bon ? Ça ne nous plaisait ni l’un, ni l’autre.
Ces rapports étaient si impersonnels qu’ils en devenaient désagréables. Nous donnions réellement l’impression de ne faire que notre devoir conjugal. Il y a tout de même plus sexy. Elle était pourtant très belle mais, aussi excitante que le carrelage de la salle de bain.
Scorpius, du haut de ses dix ans, voit bien que rien ne va entre nous et ce n’est certainement pas la meilleure façon de parfaire sont éducation. Il fera son entrée à Poudlard l’an prochain.
J’ai décidé de déménager dans quelques semaines. C’est devenu intenable. Et il aura au moins un endroit chaleureux où rentrer pendant les vacances. Je connais le sentiment de ne pas avoir envie de rentrer chez soi mais, rester seul à l’école, surtout pour noël n’est pas très joyeux.
Astoria pourra soupirer de soulagement à son aise et je cesserais de me demander constamment ce que je fais dans cette maison.
Peut-être retournerais-je au manoir Malfoy. Je n’y ai pas réellement remis les pieds depuis la fin de la guerre. Et la mort de mes parents, il y a deux ans, n’a pas aidé non plus. J’irai voir dans quel état c’est resté mais, cette idée me plaît bien. C’est agréable de retrouver ses racines.
Je me relève, époussète ma veste et longe les quais pour retrouver la rue. Je traine les pieds sur les pavés humides de Londres tout en laissant courir mon regard sur les illuminations des enseignes. Il est tard et il fait presque nuit. Une légère brise souffle dans mes mèches blondes, c’est plutôt agréable. La chaleur n’est pas insoutenable, l’atmosphère est tout de même un peu lourde mais, pour un mois de juillet c’est correct.
J’arrive une demi-heure plus tard devant la porte de chez moi.
Chez moi. Ce n’est pas le sentiment que j’ai en regardant cette porte. Je me sens comme étranger à cet endroit après y avoir pourtant passé dix ans. Les yeux dans le vague j’entre. J’ôte ma veste et l’accroche à la patère de l’entrée.
Je croise son regard en me retournant. Plus rien n’y brille. Ses yeux noisette restent ternes et sans vie.
J’ai l’impression de lui avoir volé dix ans de sa vie. Ce mariage arrangé ne lui a pas réussi. Elle a toujours une classe folle mais semble éteinte. Peut-être ai-je le même reflet. Ça ne m’étonnerait guère.
Je m’avance dans notre cuisine et prends une chaise. Quelque chose l’a peut-être alerté dans mes pupilles car elle me suit sans un mot et s’assoit face à moi.
- Scorpius dort ?
Elle acquiesce.
- Il y a quelque chose de délicat dont je dois discuter avec toi.
Je pense qu’elle se doute déjà de ce qu’il se passe car elle hoche la tête.
- Je pense que ça ne sert plus à rien de se faire du mal à essayer de sauver une illusion de mariage. Ça nous détruit plus qu’autre chose.
Son regard est toujours aussi peu vivant mais elle esquisse un sourire fatigué.
- Je m’en vais la semaine prochaine je pense. On peut faire ça comme des adultes et ne pas se déchirer au tribunal. Je te laisse ce que tu veux et je pense qu’une garde partagée de Scorpius est la meilleure des solutions. Ça sera certainement très mal vu dans la société sorcière mais, cette relation nous tue plus qu’autre chose. Je te laisse y réfléchir, nous ne sommes pas pressés.
Je pose ma main sur les siennes au centre de la table.
- Je te laisse trouver ton bonheur maintenant. Je souffle.
Elle prend une profonde inspiration en resserrant ses doigts autour des miens et murmure un « merci » à peine audible. Je me lève, contourne la table et dépose un baiser sur son front.
- Bonne nuit.
Je disparais relativement vite dans un couloir et m’installe dans une des chambres non utilisées de la maison, pour la nuit. Nous n’avons plus besoin de faire semblant désormais.
oOo
Pour la première fois, le petit déjeuner a une allure joyeuse. J’ai même cru m’être trompé de maison en arrivant dans la cuisine.
Astoria donne à manger à Scorpius sans se faire prier, lui tartine ce qu’il désire sur son pain et lui sourit. Je crois que c’est la première fois que je vois un sourire aussi rayonnant sur son visage. Ça me ferait presque mal à l’ego.
Mais je suis trop focalisé sur ma prochaine liberté et sur la joie que ça lui procure pour m’appesantir là dessus. Elle tourne la tête vers moi en m’entendant arriver et m’adresse le même sourire qu’à Scorpius. Si j’avais su qu’il aurait suffit de discuter de tout ça pour obtenir une entente telle que celle-ci, je l’aurais fait bien plus tôt.
Au moins, nous sommes d’accord sur notre séparation. Et ça me soulage. On ne se déchirera pas. On ne se battra pas pour une petite cuillère.
Je souris en soupirant de soulagement. Scorpius aura des parents qui s’entendront bien et n’en souffrira pas.
Etonnement, je ne pensais pas à l’époque que j’aurais été si protecteur envers mes enfants mais, cette petite merveille de dix ans a su m’attendrir dès qu’il a ouvert les yeux à la maternité.
Les mômes sont des monstres. Ils ont été crée avec de grands yeux pour que toute personne normalement constituée se penche sur eux, complètement gaga et s’élance dans des tirades sans queue ni tête emplie de « Oooooh ! Il est troooop mignooon ! ».
Comment voulez-vous vous défaire de ça après ? Cette petite chose adorable qui grandit et vous regarde de plus en plus comme si vous étiez un Dieu pour lui. Cet être si adorable qui vous appelle papa et vous prend comme modèle. Vous n’avez qu’une envie : le prendre dans vos bras et le dorloter.
Alors oui. J’ai un peu viré gaga avec Scorpius. L’attraction de son propre enfant est la magie la plus forte que je connaisse. Je n’ai rien pu y faire. Et je n’en avais pas la moindre envie.
Après l’éducation sévère de mon père, je ne voulais pas que mon fils subisse la même pression que moi à l’époque. Je passais mon temps à faire en sorte qu’il soit fier de moi et cela lui importait peu. Forcément, ça laisse quelques cicatrices…
Je finis mon petit déjeuner, me lève, dépose un baiser sur la joue d’Astoria et ébouriffe tendrement les cheveux de Scorpius avant de monter à l’étage commencer à emballer mes affaires. Pas grand chose, je vide juste mes étagères de la chambre conjugale de mes objets inutiles - ou du moins, de ceux dont je n’aurais pas besoin dans l’immédiat. Surtout histoire de débarrasser le plancher en douceur et laisser de la place à Astoria.
Avant de tout déménager, il faudra que j’aille voir dans quel état est le manoir désormais. Il n’a pas été habité depuis sa réquisition par les mangemorts…
Une fois mes affaires mises négligemment dans un carton, je les dépose dans la chambre d’amis que j’occuperais dans les prochaines semaines, pour les avoir à portée de main et ne pas la déranger sans cesse.
J’entends l’escalier grincer et des pas s’approcher derrière moi.
- Tu n’étais pas obligé de faire ça aussi rapidement tu sais. Murmure-t-elle.
- Ça t’attriste ? Je lui demande perplexe.
Elle hésite une seconde et soupire.
- Ce n’est pas ça, c’est juste que… je ne veux pas que tu te sentes chassé dans ta propre maison.
Je souris tristement. Il aura fallu attendre notre séparation pour que je vois qu’elle est quelqu’un d’attentionné.
Je la regarde, me demandant si elle regrette mon départ. Est-ce que tout cela est une bonne idée finalement ? On a l’air de se rapprocher doucement depuis hier. Du moins, j’ai l’impression de découvrir une autre femme que celle avec qui j’ai vécu pendant dix ans.
En scrutant son visage, je sens toujours sa fatigue mais découvre un nouvel éclat dans ses prunelles. Quelque chose de faible encore mais, une petite lueur qui pointe son nez. J’ai le fol espoir de croire qu’elle est heureuse de voir une nouvelle vie s’offrir à elle mais, le doute me hante quand même. Il faut dire qu’on a jamais été vraiment proche.
Je me lève et m’approche doucement d’elle avant de la prendre délicatement dans mes bras. Elle se crispe un instant puis, se détend. Il est vrai que ce ne sont pas dans nos habitudes d’avoir un quelconque contact.
- Dis moi Astoria. Est-ce que tu es d’accord avec ma décision de partir ?
Elle lève la tête vers moi et son front de plisse d’incompréhension.
- Est-ce qu’on est bien sur la même longueur d’ondes ou… est-ce que tu préfèrerais qu’on redonne une chance à notre mariage ?
- Comment ça ?
- Je ne sais pas… c’est juste que… je veux être sûr que cette décision ne soit pas seulement la mienne.
Elle sourit et repose sa tête contre mon épaule.
- Ne t’en fais pas pour ça Draco. Ces dix années de mariage n’étaient pas celles d’un couple amoureux. Tu m’as fais un très beau cadeau en me donnant Scorpius mais, je sais que nous ne pourrons n’être rien de plus que des amis. Tu me donnes une chance de trouver quelqu’un dont je serais amoureuse sans me sentir coupable envers toi. Nous serons plus heureux ainsi, nous n’aurons plus l’impression d’être obligés de jouer constamment un rôle.
Je la serre contre moi heureux qu’elle pense comme moi. Mais plus heureux de ne pas la faire souffrir en la quittant contre son gré. Je ne suis pas quelqu’un de très tendre à l’origine mais, elle n’aurait pas mérité ça. Ce sont ses parents qui ont voulu qu’elle m’épouse, ce n’était pas son choix à elle.
Je la relâche et recule d’un pas. Elle se frotte le bras droit avec le gauche, la tête penchée sur le côté et le regard fixé au sol. Elle a l’air un peu gênée. Moi aussi en vérité. Après dix ans de cohabitation en tant qu’étrangers, rompre est quelque peu… étrange.
- Je pense m’installer au Manoir.
Elle lève les yeux vers moi, surprise.
- Ah ? C’est une bonne idée… je crois. Mais…
- Mais quoi ?
- Et bien… après tout ce qui s’y est déroulé… je ne pensais pas que tu y remettrais les pieds.
- J’y ai plus de bons souvenirs que de mauvais. J’y passerai tout à l’heure pour voir l’étendue des travaux que je devrais y faire.
Elle hoche la tête.
- Tu veux que je vienne avec toi ?
- Non, pas aujourd’hui. Scorpius ne peut pas rester seul et je préfèrerais qu’il voit le Manoir de sa famille dans toute sa splendeur et non pas en ruines.
oOo
Le domaine est dans un état déplorable, totalement à l’abandon. L’étroit chemin menant à son entrée est totalement recouvert de ronces et de mauvaises herbes, presque indécelable à quiconque ne sait pas qu’il s’y trouve. Je dégage le tout d’un coup de baguette et m’aventure plus loin. Heureusement que le parc est assez grand pour que je sois sûr de n’y croiser aucun moldu.
J’arrive enfin devant la grille en fer forgée immense, surmontée du blason Malfoy. Cette grille qui fut imposante il y a plus de dix ans, est maintenant couleur rouille, rongée et tordue sur ses gonds.
Je soupire de tristesse en voyant l’étendue de la propriété dans le même état lamentable. La rangée impeccablement taillée d’ifs a laissé la place à une véritable forêt vierge et laisse deviner au loin une bâtisse imposante presque en ruine.
Je reste là à contempler la grandeur déchue des Malfoy. La splendeur du site entièrement détruite par la faute de Lucius Malfoy. Lui qui était si fier de sa propriété l’a emmené de lui-même à sa perte. S’il n’avait pas été le plus fidèle sujet de Voldemort, les mangemorts ne seraient pas venus saccager l’honneur, la réputation et la demeure Malfoy…
Je regarde la façade décrépie du Manoir, il ne reste aucune fenêtre, la porte d’entrée est défoncée, le conduit de cheminée git en un tas de pierre autour de la maison et j’aperçois même un trou béant dans la toiture.
De dépit je nettoie ce que je vois du jardin avec une formule. Rien que pour l’extérieur du Manoir je vais avoir énormément de travail alors je n’imagine même pas l’intérieur.
Je pointe ma baguette sur la bâtisse et me stoppe aussitôt. Si je la répare par la magie, je risque d’attirer l’attention, le domaine est peut-être grand mais, il y a surement des moldus qui passent parfois aux alentours. D’autant plus que j’ai aperçu de nouvelles constructions dans les environs. Ils risqueraient de se poser des questions. Une maison de cette taille ne retrouve pas sa splendeur en une nuit.
Je grogne. Je vais être obligé d’appeler des ouvriers. Et un jardinier, car je ne suis pas sûr que ceux habitants de l’autre côté comprennent ce qui se passe s’ils voient le parc se transformer en un battement de cil…
Je m’avance en trainant les pieds et entre, autant pour redécouvrir mon Manoir que pour voir l’étendu des dégâts.
En marchant au fil des pièces, je les revois comme dans mes souvenirs. A ceci près qu’une couche de poussière impressionnante recouvre tout ce qui s’y trouve. Elle est moins épaisse à certains endroits, comme près des fenêtres mais, n’en reste pas moins opaque. Les meubles n’ont pas bougé, tout comme les bibelots qui reposent dessus.
Il ne semble pas avoir subit trop de dommages hormis ceux du temps. De la végétation a poussé entre les lattes de ce qui fut du parquet à une époque. Du lierre court sur les murs qui ont changé de teinte. Des feuilles mortes jonchent le sol en piteux état. Le plafond du salon s’est écroulé sur le piano à queue qui git en pièces détachées. L’immense lustre de la pièce principale est en miette sur le canapé éventré. Le bois est rongé et les meubles se sont affaissés. Le grand escalier en bois qui mène aux étages n’a presque plus de marches.
Je soupire et m’approche du rebord de la fenêtre du salon qui donne sur le parc. Il va y avoir énormément de boulot. Je retourne sur mes pas pour sortir de là quand je vois un chat sortir de sous le sofa et filer vers le jardin dans une envolée de moineaux. Même les animaux ont élu domicile chez moi…
oOo
Ça aura pris un mois mais, le manoir a enfin retrouvé sa splendeur d’antan. Les hommes que j’ai embauché ont vraiment fait du bon travail.
Je tiens Scorpius par la main, qui s’émerveille déjà rien que devant l’allée d’ifs menant à la propriété. Astoria nous suit quelques pas en arrière, le sourire aux lèvres.
Je fais visiter la maison de mon enfance à mon fils, fier comme un paon.
Ma nouvelle vie peut enfin commencer.
Je laisse Scorpius aller jouer dans le parc et vais m’asseoir inconsciemment sur le rebord de la fenêtre du salon. L’endroit même où je passais beaucoup de temps quand j’étais adolescent. Je m’asseyais là pour réfléchir en observant la végétation du domaine.
- Est-ce qu’il te manque toujours autant ?
J’étais si loin dans mes souvenirs que je ne l’ai pas entendu approcher. Je sens mon coeur rater un battement et lève la tête vers Astoria.
- De quoi est-ce que tu parles ?
Elle sourit.
- Tu as toujours très bien su faire semblant. A moins que ce ne soit que de la bêtise et que tu passes ton temps à te mentir à toi même.
- Cela fait bien longtemps que j’ai cessé de nier les évidences.
- Alors ne joue pas à ça avec moi. Si tu crois que je ne me suis aperçue de rien c’est que tu es idiot Draco.
Je me retourne vers la fenêtre sans rien dire. Elle est plus observatrice que je ne pensais. Ou alors elle est juste tombée sur la malheureuse pile d’article à son sujet que j’ai caché - bien mal apparemment - dans mon bureau.
- Oui. Oui, il me manque toujours.
J'avais beaucoup de mal aussi avec les fanfics avant ^^
J'avoue honteusement ne pas me souvenir du tome 6 et n'ai même pas lu le 7, j'ai carrément triché avec l'encyclopédie HP sur le net et les appels fréquent à ma meilleure pote genre : "c'est bon
si je fais ça? Et ça ? Et ça ça passe ?" ^^
Et tu ne peux pas demander à tes parents pour y retourner ? J'avais une maison de vancances à Majorque et j'y allais très souvent l'été quand j'étais gamine. Ma tante a malheureusement vendu cette maison il y a au moins dix ans maintenant mais, quand mes parents m'y ont emmené y a deux ans, je suis sortie de la voiture émerveillée. L'odeur était la même que dans mes souvenirs, la maison avait beaucoup changé mais l'endroit avait gardé cet aspect magique que je lui avais donné dans ma tête et c'était génial de retrouver tout ça !
Bah au final je me suis euh... un peu laissée aller et bah Harry... on le voit pas beaucoup ^^'
Bisous :)
Dix longues années... sais-tu que je les ai passées, moi ? ^^' en fait, ça passe drôlement vite, surtout avec les enfants venus ! Mais tu écris très bien : moi qui ne suis pas une experte de l'univers de Harry Potter, je vois pourtant exactement le manoir, la poussière et la végétation entre les lattes... c'est vraiment génial ^^ et Draco assagi par un petit garçon ça me va bien aussi !
Dix années de mariage ? (Quand j'y pense mes parnts ça fait déjà 23 bientôt 24 ans oO)
C'est vrai que je n'ai pas d'expérience dans ce domaine mais j'aime bien la relation entre Astoria et Draco :) Je trouve ça mieux que de se jeter des assiettes au visage ^^
Je ne pense pas qu'il y ait besoin de connaître vraiment l'univers d'Harry Potter pour pouvoir lire mon histoire, moi-même je me suis aidée de sites et d'une amie pour ne pas faire de gros contre-sens avec l'oeuvre originelle mais, la première scène du second chapitre je l'ai inventée de toute pièce ^^
Pardon ^^ en fait, je voulais justement dire que même si je n'avais pas tous les éléments en tête exactement comme du livre ou du film, ça ne me gênait pas, étant donné que tu décris vraiment très bien les choses ! on s'y croirait ^^
Oh non ne t'excuse pas ^^
C'est moi qui ai dû m'embrouiller dans ma réponse parce que j'avais bien compris ça :)
Merci beaucoup, c'est super gentil tout ça ! =)
Et tant mieux du coup, comme ça même les non initiés arrivent à s'en sortir ^^
C'est vraiment très sympa ! =)
J'ai toujours eu du mal avec les fanfic mais le début m'enchante, j'aime bien l'ambiance du manoir en perdition lol Ca évoque chez moi des souvenirs...
Dans mon enfance, j'habitais un chalet vraiment vraiment dans un sale état. Presque quinze ans après être partie, j'ai déjà eu l'occasion de le voir de loin et il faut dire que la végétation est devenue l'unique habitante des lieux.
Depuis que je suis partie, plus personne n'est venu l'habiter, il est comme on l'avait laissé...Je meurs envie d'aller voir de plus près ce qu'il est devenu mais je connais même pas le chemin pour y aller. J'espérais pouvoir aller le voir avec ma petite soeur, elle ne l'a jamais vraiment connu, c'était encore un bébé quand on est parti ^^
Un jour peut être...Et j'imagine très bien la sensation que ça va me faire, alors je comprends bien Draco =)
Je suis aussi contente que tu n'es pas fait quelque chose de trop incohérent avec l'histoire d'origine. Leur personnalité à chacun est touchante, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec Harry ;)
Bisous